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n°144

n°144

Avril / Mai
2022

Sans eux, les portes des préfectures seraient restées fermées

Depuis mi-mars, des délégations EDT ont été reçues dans des dizaines de préfectures pour exposer la situation intenable des ETARF à la suite de la flambée des prix du GNR sur leur activité. Et les choses ont bougé.

Tout n’est pas parfait bien sûr : des demandes que nous avons faites restent insatisfaites en partie ou totalement, des clients, en particulier des grands comptes, sont devenus sourds et aveugles depuis le retour de l’inflation, des dossiers déposés sur chorus ne sont pas encore réglés, l’avance de 25 % sur 2022 a tardé à se mettre en route.

Nous avons demandé ces rendez-vous dès la fin du Congrès national EDT parce que nous n’avions aucune réponse à nos revendications. Nous avions ici et là, à la faveur de réunions sur d’autres dossiers des signes que la remontée des prix du carburant, des machines, des pièces était un sujet de travail mais pas de décision.
Les rassemblements EDT d’engins agricoles mi-mars en Bretagne, en Pays de la Loire, en Normandie ont permis d’avoir des rendez-vous mais aussi dans les autres régions pour exposer une situation décrite dans un kit inflation préparé par le national.

De mi-février au 1er avril 2022, date de l’ouverture de Chorus, beaucoup d’actualités auraient pu effacer notre action commune pour les ETARF : le salon de l’agriculture, l’invasion russe en Ukraine, la campagne présidentielle, la reprise des travaux. Eh bien, non ce ne fut pas le cas grâce à l’action de plusieurs centaines d’entre nous. Je veux ici les remercier et saluer leur engagement et celui des responsables EDT dans les départements et les régions. Sans eux, vous l’avez compris, les portes des préfectures seraient restées fermées.

Gérard Napias, Président de la Fédération nationale EDT

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